Lisez l’interview de la généalogiste passionnée Maritza Plancke, dont la famille maternelle vient du Nord de la France, mais qui a retrouvé une cousine au Brésil !
A quand remonte votre passion pour la généalogie ?
J’ai commencé à faire des recherches généalogiques dans les vieux registres de la mairie du village de mes grands-parents alors que j’étais chez eux pour réviser mon bac français …
Cela remonte donc à plus de 20 ans. Il y a bien sûr eu des moments où j’ai eu moins de temps à m’y consacrer, mais c’est toujours resté présent dans ma vie.
Faites-vous partie d’une association locale, ou bien vous adonnez-vous à votre passion de façon individuelle ?
J’ai pendant longtemps fait mes recherches « toute seule dans mon coin ». Cependant depuis quelques années, j’ai tissé de nombreux liens avec des cousins éloignés tout aussi passionnés que moi. C’est un peu mon « association » à moi, tout comme les réseaux sociaux qui sont également très enrichissants.
Quels sont les sites de généalogie que vous utilisez ? Avez-vous également recours à un logiciel de généalogie ?
Je travaille avec le logiciel Heredis depuis pratiquement le tout début de mes recherches. J’utilise également Geneanet, d’abord dans sa forme gratuite, et maintenant avec abonnement.
Plus récemment, j’ai découvert Family Search, qui de mon point de vue, apporte vraiment un plus pour retrouver les personnes lorsqu’elles ont changé de région. J’ai fait quelques belles découvertes grâce à eux, notamment une cousine éloignée que j’ai retrouvée au Brésil, jamais je n’aurais pensé à la chercher là-bas !
Quel est votre terrain de jeux préféré en généalogie ? Une époque, une thématique particulière ?
Pratiquement toute ma famille maternelle vient de Fressain, un petit village dans le Nord, j’ai donc fait beaucoup de recherches sur celui-ci et les personnes qui y vivaient.
Je n’ai pas de thématique particulière, mais j’aime beaucoup les photos anciennes, et pouvoir mettre un visage sur mes ancêtres et leurs familles me fascine beaucoup, c’est une sorte de fenêtre sur le temps qui nous permet d’apercevoir un peu leur vie …
Avez-vous déjà songé à transformer cette passion en la faisant évoluer vers …un métier ?
C’est une idée qui m’a traversé l’esprit, cependant, pour l’instant je souhaite que la généalogie reste un loisir et un plaisir.
Mais pourquoi pas si un jour je ne m’y retrouve plus dans mon métier actuel …