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Interview de Max-Francis Dubsky

  • Valérie 

Max-Francis Dubsky est un généalogiste amateur et passionné. Il anime de façon bénévole des ateliers mêlant informatique et généalogie depuis 10 ans.

A quand remonte votre passion pour la généalogie ?

J’ai commencé il y a 15 ans. J’avais récupéré des ébauches sur 4 à 5 générations faites par mon père et ma marraine, qui était aussi une petite cousine.

Faites-vous partie d’une association locale, ou bien vous adonnez-vous à votre passion de façon individuelle ?

Malheureusement, mon domicile est loin des origines de ma généalogie qui se répartit sur 40 départements et 3 pays. Donc, je ne fais pas partie d’une association généalogique.

Par contre, j’anime, comme bénévole depuis 10 ans, des ateliers INFORMATIQUE ET GENEALOGIE ainsi que MULTIMEDIA dans une association en Isère Nord pour la lutte contre l’illectronisme.

Je participe également à des salons de généalogie sur le stand de MyHeritage comme utilisateur.

J’aide également dans les groupes Facebook sur la généalogie et j’essaie d’avoir des échanges avec des professionnels ou des blogueurs.

max francis dubsky

Quels sont les sites de généalogie que vous utilisez ? Avez-vous également recours à un logiciel de généalogie ?

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J’utilise FAMILY TREE BUILDER, logiciel de MyHeritage, comme épine dorsale de ma généalogie. Ce logiciel se synchronise automatiquement avec le site familial de MyHeritage.

Je crée régulièrement des GEDCOM que je mets dans GENEANET et FILAE. J’utilise de façon ponctuelle FAMILYSEARCH.

J’ai recours également à GENOPRESSE pour pouvoir élaborer des livres de famille.

Quel est votre terrain de jeux préféré en généalogie ? Une époque, une thématique particulière ?

Mon premier terrain de jeu est clairement de me tenir au courant des technologies qui simplifient la vie des généalogistes amateurs (comme les offres des sites, les données accessibles sur le net, mais aussi les impacts de l’IA).

Mon deuxième est de transmettre à des généalogistes plus ou moins débutants les outils et méthodes pour avancer dans leurs recherches.

Après, c’est de trouver et « justifier » mon arbre, et ce, même si je n’ai pas eu la « chance » d’avoir la réponse par la généalogie collaborative.

Et enfin, j’aime transmettre mes recherches et trouvailles à mes proches par la rédaction d’un « livre de famille ». J’organise également des réunions familiales pour partager et présenter ces recherches généalogiques.

J’aime aussi passer du temps sur les sites utilisés en généalogie pour « renvoyer » l’aide qui m’a été fournie par d’autres généanautes.

Avez-vous déjà songé à transformer cette passion en la faisant évoluer vers …un métier ?

Non, pour le moment le bénévolat a au moins l’avantage de ne pas avoir les obligations entrainées par la pratique de ce métier.

Max-Francis Dubsky est présent sur Facebook : https://www.facebook.com/maxfrancis.dubsky

Son arbre sur Geneanet : https://gw.geneanet.org/mdubsky_w?i=5&type=tree

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